Hamlet- Shakespeare/A-Hamlet/R-P.Chéreau/M-S, 1989 Molière du meilleur acteur 1989 "A l'ampleur de cette mise en scene repond l'ampleur de l'interpretation de Gérard Desarthe. Il ne joue pas Hamlet, il est Hamlet ..." ... écrit Philippe Tesson dans l'Express
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    Et pourtant, on l'attend au tournant, son Hamlet - à la moindre tournure, écrit le Canard. Son être ou ne pas être, comment va-t-il-le lancer?
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    tirant du rêve ses répliques, comme un presidigitateur ectrait des diamants d'un chapeau. Gérard Desarthe est possédé par la grace
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    Quel travail de fou pour en arriver à cette apparente simplicité, à ce dépouillement, cette désinvolture, cette fantaisie, cette spontanéité d'innocent! Jamais rien qui pèse ni ne pose.
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    Il respire le texte: une danse échevelée devant le néant, hantée par la part d'ombre, un pied-de-nez à la démence, un croc-en-jambe au diable et son train-tran, la nique
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    L"Express: A l'ampleur de tette mise en scene repond l'ampleur de l'interprétation de Gerard Desarthe. Il ne joue pas un Hamlet, il est Hamlet, qui se cherche, se bat contre lui-même. plonge et émerge, ombre et lumière, saisissable dans le moment. inidentifiable dans la durée. Bref atonement fidele an mythe. Desarthe a résisté à la tentation de l'acteur qui si souvent compose son Hamlet. Tout juste voit-il en lui à la fois un bouffon. un puritain et un homme d'action. Car cette triple definition n'est qu'un cadrage psychologique dont le comédien s'échappe a tout instant pour donner au heros une dimension lyrique et poêtique qui peut atteindre au sublime. Le théatre est ici à ses sommets. Philippe Tesson •
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    Hélas, pauvre Yorrick, ce cràne du squelette de bouffon, comment va-t-il s'en dépétrer? Et chaque fois, il prend au dépourvu - au défaut de la tirade